vendredi 5 août 2005

Je l'ai envoyé sur les roses

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A la terre tu retourneras - Vlan !
dixit la chienne

mardi 2 août 2005

elle a fait le ménage...

incroyable ! alors, là ! c'est là que je me marre ! déjà le matin, je la sentais vibrer ; ouh, la la, que je m'ai dit, ça va le faire, je le sens... ni une, ni deux [je la connais comme le dos de ma main] elle saute à bas du lit, couiiiiic, elle fonce à la cuisine (lord anxious, lui, royal, fait semblant d'être fast asleep, pas con !) et le ballet commence !!! [oui, ballET, vous avez bien lu, parce que question balais... vous allez voir...]
et vas-y que je lève manu militari les chieurs, encore dans l'coltard qu'est-ce qui s'passe ? y'a pas école ! et vas-y que je mets la sirène en branle-bas de combat : ça gueule dans tous les coins ! putain, je me dis, ça va chier... et en fait, ça A chié...
revue de pièces (une horreur : c'est pas une maison, c'est une schweinerei !, sauf les pièces dont je m'occupe, bien sûr...) distribution de travail / et de baffes, ouiiiiin... hé hé, bien fait, moi, au chaud, pelotonné dans les draps... sublime...
au bout de deux heures de remue-ménage, je fais semblant de me lever... au secours ! toute la saleté : étalée plutôt qu'ôtée ! la poussière : voltigeante dans tout l'étage (au moins quelque chose d'évanescent ici, que je me dis), les sols... on va dire : marquetés... elle, déprimée : gouttes de sueur et larmes, la diva, Andromaque, étalée sur un divan, les gosses, planqués sous le lit ou dans la cave... un désastre... sublime, j'en ris encore, mais discret, quoi...
alors j'arriv là : ma chérie, (andouille de première !), fallait pas te fatiguer comme ça (tu nous fatigues déjà assez, pétasse !), si tu veux, je peux me rendre utile... mais non, pas du tout, bien au contraire, c'est avec plaisir (faut bien que je le prenne quelque part)... et hop, je brille de tous les feux que j'allume dans cette porcherie, je sauve le coup, elle me prendrait presque pour son Hector...
enfin, faut pas exagérer... mais on peut toujours espérer, non ? allez, je vous raconte tout ça demain... si vous êtes sages (avec vos coms...)

lundi 1 août 2005

sa bouffe me rend malade !

aujourd'hui : dodo, tordu en deux entre la tonte de la pelouse et les cris des gniards... qu'est-ce qu'elle a fichu dans la bouffe ? faut que je me méfie ; j'ai des soupçons... oh ! rien de bien précis encore... des intuitions, des suspicions... hein ? desfois qu'elle aurait la bonne idée de se débarrasser de son homme de corvée(s)... en attendant, je souffre le martyre. mais je dirai rien : je crèverai comme un chien sans dire ouf ! j'irai m'allonger sur le pavé dans la rue, et là, couixx, fini...
bon, c'est pas tout, mais j'ai encore les sols à faire : ça va pas se faire tout seul ! j'envoie une lessive en même temps, histoire de m'avancer, et après les sols, je prends discrètement le contrôle des repas ; le tour est joué... et voilà l'travail ! non LA voilà ! salut...