Or, quelle fut la réaction de celui-ci devant les sapins, boules (rondes et à facettes), guirlandes, étoiles, sujets à suspendre et autres babioles plus brillantes les unes que les autres ?
En un mot, rien. Taciturne, et l'expression un tantinet ronchonne, c'est l'angoisse de l'invasion des aiguilles (quoi que fausses) et des sapins qui se multiplient d'année en année qui a trahi son calme habituel.
Alors, pour que notre lord préféré ne se sente pas trop offusqué par la présence du clinquant en cette fin d'année, je tente de sublimer un peu l'affaire en citant celui qui faisait bien plus que de se faire appeler Arthur :
"J'ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d'or d'étoile à étoile, et je danse."