ça y est, ouf... tranquille pour un moment, le temps de changer le bébé, de terminer la vaisselle et de balayer les immondices qu'ils laissent derrière eux après chaque baffrée, et je suis de retour ; de nouveau à toi, cher journal de mes émotions intimes, de mes pensées inavouées et de mes secrets domestiques sordides...
quel bagne ! et dire que ma mère m'avait prévenu : "tu verras, y'aura aussi la maîtresse !", mais comme c'est aussi une coriace, celle-là, et que l'autre me roulait des yeux de merlan frit, je m'ai laissé faire... comme un con !
Ah ! la vie de moi ! si c'était à refaire... mais voilà l'travail : c'est jamais possible de refaire rien, même pas les conneries anciennes, non ! on en (re)fait d'autres, c'est tout...
oui, j'arrive ! oh mince, voilà qu'elle me gueule dessus, maintenant... à tout de suite, cher journal...
vendredi 29 juillet 2005
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1 commentaire:
au moins l'immondice n'est pas étalé sur la place public dans une sorte d'exhibitionnisme égocentrique et existentiel.
Et puis ta mère, parlons-en. Une épouse est toujours une amélioration ne serait-ce parce qu'elle est plus jeune...
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